Crise suicidaire : agir avant la tentative de suicide
Qu’est-ce qu’une crise suicidaire ?
La crise suicidaire est un état de trouble psychique aigu, caractérisé par la présence d’idées noires et d’une envie de suicide de plus en plus marquées et envahissantes. La personne confrontée à ce moment de grande souffrance ne trouve pas en elle les ressources suffisantes pour le surmonter. Elle se sent dans une impasse et confrontée à une telle souffrance que la mort apparaît progressivement comme le seul moyen de trouver une issue à cet état de crise.
Les idées suicidaires sont un signal d'alarme qui précède la tentative de suicide. Celle-ci est définie comme un comportement non fatal dirigé envers soi avec l’intention de mourir, même si le comportement ne cause pas de blessure.
Pour prévenir le risque de passage à l’acte suicidaire et aider la personne à surmonter la crise, il est essentiel de repérer les signes de détresse qu’elle peut manifester.
La crise suicidaire est temporaire et réversible en l’absence de passage à l’acte.
Suicide : des chiffres élevés
En France, le suicide représente chaque année près de 9 300 décès et 200 000 tentatives à l’origine de 89 000 hospitalisations. Il concerne plus les hommes que les femmes.
Deuxième cause de mortalité évitable chez les 15-24 ans, le suicide est responsable de la mort de 400 adolescents par an.
Idées suicidaires : les symptômes qui doivent vous alerter
Tentative de suicide : reconnaître les signes avant-coureurs chez les adultes
Ceux qui pensent au suicide donnent généralement plusieurs indices de leurs intentions (mots, comportements, émotions, etc.)
Si une personne de votre entourage présente un ensemble de signes suicidaires, si son attitude et son comportement changent faisant redouter une tentative de suicide, soyez vigilant.
Les messages verbalisés exprimant l'intention de se suicider peuvent être :
- directs : « Je vais en finir », « Je vais me tuer », « Ce serait mieux si j’étais mort », « Je veux juste mourir » ;
- indirects : « Je voudrais partir », « Je veux m’en aller », « Je n’en peux plus », « Bientôt, je ne serai plus là », « Je vais tout laisser tomber », « Je ne vous embêterai plus longtemps », « J’ai tout raté dans la vie », « Je ne suis plus capable ».
La personne en état de crise suicidaire peut être sujette à :
- des symptômes physiques : fatigue, perte d’appétit ou boulimie, troubles du sommeil, douleurs multiples avec parfois des consultations répétées chez le médecin, négligence de son apparence physique, etc. ;
- des signes psychiques : anxiété, tristesse, découragement, irritabilité et agressivité, ennui, perte du goût pour les activités habituelles, sentiment d’échec et d’inutilité, sentiment d’injustice, mauvaise image de soi et tendance à se dévaloriser, impuissance à trouver par soi-même des solutions à ses problèmes, troubles de la mémoire, rumination mentale, etc. ;
- des difficultés professionnelles : perte d’investissement ou surinvestissement dans le travail, épuisement ou burn-out, incapacité à supporter sa hiérarchie, arrêts de travail à répétition, etc. ;
- des problèmes relationnels : retrait par rapport aux marques d’affection, refus du contact physique, conduites d’isolement social et familial.
Certains comportements peuvent révéler une intention déterminée de se suicider dans un avenir très proche :
- la personne a mis de l’ordre dans ses affaires personnelles (ex. : assurance vie) et paraît anormalement calme. Cela peut signifier qu’elle a planifié son passage à l’acte suicidaire pour les jours qui viennent ;
- la personne rationalise sa décision de mourir ou semble au contraire très émotive, agitée ou troublée ;
- elle se sent complètement tétanisée par la dépression, le désespoir, la douleur psychique ;
- l’expression de son mal-être est soit omniprésente, soit complètement absente ;
- elle se procure un moyen de se suicider (médicaments, arme à feu, etc.) ;
- elle a le sentiment d’avoir tout fait et tout essayé ;
- elle s’isole anormalement.
Identifier les comportements suicidaires chez les jeunes
L’adolescence est une période de vulnérabilité psychique. Les tentatives de suicide sont nombreuses.
Le suicide représente la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans et la 5ème cause de mortalité chez les moins de 13 ans. En 2016, 26 décès par suicide ont été enregistrés chez les moins de 15 ans et 352 chez les 15-24 ans.
Chez l'adolescent, les symptômes diffèrent de ceux de l'adulte.
Les filles manifestent leur souffrance plutôt par des plaintes concernant leur corps (douleurs) et par des atteintes à leur intégrité corporelle (anorexie et boulimie, scarifications...)
Les garçons ont plus recours à la force et à la violence : conduites excessives et déviantes (alcoolisation, consommation de drogues...), attirance pour la marginalité, prises de risque inconsidérées (vitesse sur les routes)...
Dans tous les cas, un changement brutal du comportement, la consommation fréquente de drogue ou d’alcool, les actes d’automutilation ou encore les propos suicidaires ne doivent jamais être pris à la légère.
D’autres facteurs favorisant des idées suicidaires peuvent se surajouter à cette fragilité : un isolement affectif, une rupture sentimentale, des échecs ou des conflits liés à la confrontation à l’autorité.
Ce mal-être induit des comportements qui doivent alerter : désintérêt pour le monde scolaire avec baisse des résultats scolaires, fugues, repli sur soi, avant qu'il n'aboutisse à une tentative de suicide.
Voir les vidéos élaborées par CléPsy « Les idées suicidaires : c'est quoi ? », « Comment parler des idées suicidaires à son enfant ? Quels signes repérer ? » , « Que faire si mon enfant a des idées suicidaires ? Quand contacter un professionnel ? » et « Le plan de sécurité c’est quoi ? Comment l’utiliser ? »
Consulter la fiche pratique « Accompagner les parents dans le contexte d’idées suicidaires ou après une tentative de suicide »
Les facteurs de risque de suicide
Certains éléments rendent les individus plus vulnérables face aux crises suicidaires.
La personne concernée par le risque de tentative de suicide peut par exemple :
- souffrir d’une dépression, de troubles de la personnalité ou d’une affection psychiatrique (trouble bipolaire par exemple) ;
- avoir un tempérament impulsif et rigide (non-contrôle de l’affectivité, réactions sans souplesse ni réflexion préalable), se manifestant par de l’agressivité ou de la colère ;
- présenter un problème de santé physique grave ou un handicap ;
- vivre ou avoir vécu des événements de vie douloureux (ex. : quitter son pays d’origine sans l’avoir choisi) ;
- avoir des antécédents de tentative de suicide ;
- avoir développé des conduites addictives (alcoolisme, toxicomanie) ;
- être victime de cyberharcèlement sur les réseaux sociaux.
Les idées suicidaires sont plus fréquentes en cas :
- d’antécédents de suicide dans la famille ;
- de conflits conjugaux majeurs ;
- de perte précoce des parents ou d’abandon ;
- de violences ou d’abus physique, psychologique ou sexuel ;
- de maladie psychiatrique chez l’un des parents.
Enfin, les situations suivantes peuvent aussi favoriser la survenue d’idées suicidaires :
- isolement et problèmes d’intégration sociale ;
- problèmes financiers persistants ;
- difficultés avec la justice ;
- soucis professionnels, comme le harcèlement au travail ou le chômage (facteur concernant davantage les hommes) ;
- placement en foyer d’accueil, en institution ou en détention ;
- souffrance liée à un traitement discriminatoire ;
- effet de contagion, à la suite du suicide d’un proche.
Crise suicidaire : comment réagir et à qui s’adresser ?
Accompagner la personne
Si une personne de votre entourage manifeste une envie de suicide, essayez d’établir avec elle un lien et une relation de confiance. Adopter une attitude bienveillante d’écoute, de dialogue et d’accompagnement peut l’encourager à recourir aux réseaux d’aide et de soins.
Tentez d’appliquer les conseils suivants :
- essayez de reconnaître les signes précurseurs d’une tentative de suicide. Prenez au sérieux toute menace suicidaire et agissez sans attendre ;
- écoutez la personne en restant vous-même, sans être intrusif ni discuter de l’immoralité du suicide. Montrez-lui que vous comprenez à quel point elle est en détresse, offrez-lui du réconfort et dites-lui que vous vous inquiétez pour elle. Invitez-la à préciser ses propos vagues ou allusifs et parlez-lui ouvertement du suicide, sans équivoque ;
- évaluez le degré d’urgence du risque suicidaire en cherchant à savoir comment, où et quand la personne prévoit de s'y prendre. Plus son plan est précis, plus vous devez agir rapidement. Selon son état, contactez les secours d’urgence ou son médecin traitant ;
- ne laissez jamais seul quelqu’un qui pourrait faire une tentative de suicide imminente (organisez une veille par des parents et amis) ;
- aidez la personne à trouver des solutions, en évitant de tout faire à sa place. Encouragez-la à chercher de l'aide et accompagnez-la au besoin vers une structure compétente. Si elle s’est déjà rapprochée d’un réseau de soutien, informez celui-ci pour qu’il puisse intervenir ;
- agissez calmement, en donnant un sentiment de contrôle ;
- respectez vos propres limites et n’assumez pas seul(e) la situation. Cherchez de l'information et du soutien auprès d'un intervenant qualifié. Si nécessaire, demandez aussi un accompagnement psychologique pour vous-même : cela peut vous aider à prendre du recul et à mieux réagir.
Que faire si l’on a soi-même des idées suicidaires ?
Si vous ressentez une souffrance psychologique, prenez votre situation au sérieux. Ne restez pas seul, confiez-vous à vos proches et demandez de l’aide. Consultez dès que possible, avant de ne plus être capable de mener vos activités habituelles, notamment si :
- vous souffrez au point que vos émotions vous empêchent de vivre normalement ;
- vous avez du mal à assumer vos responsabilités professionnelles et / ou familiales ;
- vous vous sentez désespéré, vous avez des idées noires ou suicidaires.
Un professionnel de santé pourra vous proposer une prise en charge adaptée à vos besoins.
Si quelqu’un dans votre entourage pense au suicide :
- ne passez pas outre d’éventuels signes suicidaires précurseurs ;
- ne mettez pas en doute l’intention de la personne de faire une tentative de suicide. Évitez aussi de vous moquer d’elle, de la provoquer, de la mettre au défi de passer à l’acte ;
- ne lui promettez pas de ne rien divulguer. Vous n'avez pas à considérer ce qu’elle vous a confié comme un secret. Votre silence risquerait en effet de limiter les interventions possibles et de vous faire porter l’entière responsabilité de la situation (or, il est préférable de ne pas essayer de résoudre le problème seul) ;
- n’invoquez pas une obligation à vivre pour les proches, ni toutes les bonnes raisons de ne pas se suicider ;
- ne comparez pas la situation de la personne à celle de quelqu’un d’autre pour dédramatiser ;
- ne lui dites pas qu’elle devrait être reconnaissante de votre aide.
Demander de l’aide avant la tentative de suicide
Si vous, ou l’un de vos proches, êtes en détresse, n’hésitez pas à consulter et à réclamer aide et assistance.
En cas de risque de suicide avéré et imminent
Appelez le 15 ou le 112 si la personne a :
- des idées suicidaires envahissantes ;
- planifié le passage à l’acte ;
- accès à des moyens permettant de réaliser son suicide (médicaments, arme à feu…)
Dans tous ces cas, une hospitalisation peut se révéler nécessaire.
Bien informer les secours facilite leur intervention rapide
Quand vous appelez les services médicaux d’urgence :
- parlez calmement et distinctement ;
- donnez votre numéro de téléphone, votre nom et celui de la personne à secourir ;
- indiquez l'adresse exacte (étage, code d'accès, etc.) ;
- décrivez le plus précisément possible les signes qui vous ont alerté ;
- ne raccrochez pas avant que votre interlocuteur ne vous le demande.
Si le risque de tentative de suicide est moins important et la situation paraît moins urgente
Assurez-vous que la personne consulte bien son médecin traitant dans un délai bref. Celui-ci pourra :
- juger de la gravité de son état psychologique ;
- l’orienter vers un spécialiste en psychiatrie ou un psychologue, ou l’adresser au Centre Médico-Psychologique (CMP) dont elle dépend.
En complément de l’aide médicale, vous pouvez contacter plusieurs structures qui proposent un soutien aux personnes déprimées ou confrontées à des idées de suicide (écoute téléphonique anonyme ; communications par mail ou par tchat ; entretiens individuels, familiaux ou de groupe).
Tous ces services d’écoute et d’accueil, partenaires de la Stratégie nationale de prévention du suicide, sont anonymes et gratuits.
Voici leurs coordonnées :
- SOS Suicide Phénix (site externe). Accueil et écoute de toute personne confrontée à la problématique du suicide. Permanence d’écoute téléphonique 7j/7 de 13 à 23h. Tél. : 01 40 44 46 45
- Suicide Écoute (site externe). Écoute des personnes confrontées au suicide. Permanence d’écoute téléphonique 24h/24 et 7j/7. Tél. : 01 45 39 40 00
- Phare Enfants-Parents (site externe). Accueil et écoute téléphonique des parents d’enfants suicidés ou en situation de mal-être. Tél : 01 43 46 00 62 (du lundi au vendredi de 10 h à 17 h)
- Association La Porte ouverte (site externe). Lieux d’écoute et de parole proposant des entretiens en face-à-face, anonymes et gratuits, avec des bénévoles (à Besançon, Bordeaux, Lyon, Paris, Rouen et Toulouse) ; coordonnées des lieux d’accueil disponibles sur le site de l’association.
- SOS Amitié (site externe). Service d’écoute destiné à accueillir la parole de celles et ceux qui, à un moment de leur vie, traversent une période difficile.Permanences : écoute téléphonique 24h/24 et 7j/7. Tél. : 09 72 39 40 50 (retrouvez les numéros d’appel régionaux sur le site de l’association)
De nombreuses associations sont impliquées dans l'aide aux jeunes et proposent un soutien aux personnes en souffrance :
- Fil Santé Jeunes au 0 800 235 236, permanence d’écoute pour les 12-25 ans, ouvert tous les jours de 9 à 23 heures et chat individuel de 9 à 22 heures ;
- Nightline, ligne d’écoute par et pour les étudiants, proposant notamment un kit de (sur)survie en ligne ;
- les maisons des ados proposent un accueil et des prises en charge, notamment en cas de souffrance en lien avec la santé ou l’orientation sexuelle.
Un numéro national de prévention du suicide : le 3114
Le 3114, numéro national « Souffrance et prévention suicide » est gratuit et accessible 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 sur l’ensemble du territoire (métropole et Outre-Mer).
Plus de 150 professionnels hospitaliers spécifiquement formés et sous la supervision d’un psychiatre apportent une réponse immédiate aux personnes en détresse psychique et à risque suicidaire, à leur entourage, ainsi qu’aux endeuillés par suicide.
- VigilanS, pour le maintien du contact avec une personne ayant fait une tentative de suicide. VigilanS est un système qui met en place autour de la personne un réseau de professionnels de santé pour garder le contact avec elle. En février 2023, VigilanS est présent dans 17 régions, dont 4 en Outre-mer, et dans 92 départements ;
- des formations au repérage du risque suicidaire et à l’intervention auprès des personnes en crise. Rénovées en 2019, ces formations ont pour objectif de créer des réseaux de personnes ressources dans chaque région ;
- Papageno. Être exposé à un suicide multiplierait de 2 à 4 le risque de geste suicidaire. Pour prévenir la contagion suicidaire, le programme Papageno organise des actions ciblées d’entraide et de recours aux soins ;
- les formations de secourisme en santé mentale permettant de repérer et aider une personne en souffrance ou en crise, afin de l’orienter vers des ressources et une prise en charge.
Des mesures pour prévenir les tentatives de suicide
La prévention du suicide repose à la fois sur des actions collectives et individuelles.
Un ensemble de mesures collectives permet de diminuer le risque suicidaire. Elles consistent à :
- éviter l’isolement (responsable de détresse psychique) en favorisant l’intégration sociale et le développement de liens diversifiés (soutien familial, relations amicales multiples, aide d’une association, participation à des actions de solidarité, de réflexion, de spiritualité, etc.) ;
- limiter l’accès aux moyens permettant de réaliser son suicide (ex. : armes à feu) ;
- sécuriser les lieux publics ;
- développer et mieux diffuser l’information du public sur la dépression, les signes avant-coureurs du suicide ;
- informer de l'existence de dispositifs d’aide et d’écoute ;
- renforcer la formation des professionnels (éducateurs, soignants, médecins du travail) sur la souffrance psychique, la crise suicidaire, la prévention des récidives de tentatives de suicide ;
- développer les structures de soins et les centres d’appel pour les personnes en risque suicidaire.
Médias, Web et réseaux sociaux : quel rôle dans la survenue des suicides ou dans leur prévention ?
Les médias, Web et réseaux sociaux auraient un rôle dans la promotion et la contagion des comportements suicidaires.
Inversement, les réseaux sociaux pourraient être utilisés comme vecteur potentiel de repérage des pensées suicidaires et d’intervention préventive.
Il s’agit d’améliorer le repérage, la prise en charge, l’accompagnement et le suivi des personnes fragiles :
- souffrant de dépression ou d’addiction ;
- présentant une vulnérabilité particulière face au risque de suicide ;
- en situation de précarité et nécessitant des soins psychiatriques ;
- ayant déjà effectué une tentative de suicide ;
- vivant une situation de souffrance liée au travail (burn-out par exemple).
- Haute Autorité de santé (HAS). La crise suicidaire : reconnaitre et prendre en charge. Site internet : HAS. Saint-Denis La Plaine (France) ; 2000 [consulté le 6 février 2023]
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- Portail santé mieux-être du gouvernement du Québec. Prévenir le suicide. Site internet : Portail santé mieux-être du gouvernement du Québec. Québec (Canada) ; 2021 [consulté le 6 février 2023]
- Ministère de la Santé et de la prévention. La prévention du suicide. Site internet : Ministère de la Santé et de la prévention. Paris ; 2023 [consulté le 6 février 2023]
- La Santé en action, Décembre 2019, n°450 Prévenir le suicide : connaissances et interventions. Site internet : Santé publique France. Saint Maurice (France) ; 2022 [consulté le 6 février 2023]
- Haute Autorité de santé (HAS). Les suicides et tentatives de suicide de patients
Analyse de 795 cas déclarés dans le cadre du dispositif de déclaration des événements indésirables graves associés aux soins (EIGS) entre mars 2017 et juin 2021. Site internet : HAS. Saint-Denis La Plaine (France) ; 2022 [consulté le 6 février 2023]
- L'alcool : définition et repères de consommation
- Dépression : symptômes, diagnostic et évolution
- Addictions : à qui s’adresser ?
- Les symptômes du trouble bipolaire
- Reconnaître les signes d’alerte d’une souffrance psychologique chez un jeune
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