Surpoids et obésité de l'adulte : suivi, médicaments et chirurgie
23 juin 2025
Lorsqu'une personne souffre d'obésité, il est utile parfois d’associer aux mesures hygiénodiététiques, un suivi psychologique, voire même une prise en charge chirurgicale. Pour cela, divers professionnels de santé l'accompagnent : diététicien(ne), médecin nutritionniste, psychologue, chirurgien etc.
Une fois que vous avez construit votre projet de soins avec votre médecin ou l'équipe médicale, vous êtes accompagné tout au long de votre prise en charge jusqu'à l'atteinte de vos objectifs.
Suivi du mode de vie
Le traitement comporte toujours des mesures diététiques et d'activité physique.
Un suivi nutritionnel par une diététicienne peut vous aider. Elle vous conseille pour équilibrer votre alimentation et pour la composition de vos repas.
Si besoin, votre médecin peut vous faire bénéficier de séances d'éducation thérapeutique pour vous aider à mettre en place de nouvelles habitudes de vie.
Aide psychologique
N’hésitez pas à parler de vos difficultés psychologiques à votre médecin traitant : il vous aide, ou vous adresse à d’autres professionnels (psychologue, psychiatre, etc.) Un accompagnement psychologique par un professionnel de santé est parfois utile. Il peut aider à améliorer l’estime de soi et la motivation à perdre du poids.
Une peut être utile dans certains cas, tout particulièrement, lorsqu'il existe une hyperphagie boulimique. Il s'agit d'un travail sur le comportement et les pensées, opinions et croyances, que l'on appelle les cognitions. Cette thérapie ne cherche pas l'origine des problèmes mais vise à traiter les manifestations visibles. C’est une courte, visant toujours à la résolution d’un problème précis. Pour cela, elle agit concrètement sur les comportements problématiques, en cherchant à modifier les pensées (cognitions) et les émotions (ex. : angoisse).
Aide sociale, professionnelle et par les associations de patients
Si vous avez des difficultés sociales ou professionnelles, parlez-en à un assistant social ou à votre médecin du travail.
Par ailleurs, n’hésitez pas à contacter des associations de patients qui sont à votre écoute et sauront vous épauler. Vous pourrez vous exprimer librement, partager l'expérience de patients-ressources, trouver de l'aide lorsque vous vous vous sentez stigmatisé en raison de votre poids.
Si votre adolescent est en surpoids, les associations d'usagers peuvent l'aider à maintenir leur projet dans l'étape difficile du passage à l'âge adulte.
Séjour en établissement de soins de suite et de réadaptation
Des séjours courts et répétés, voire en ambulatoire (entrée et sortie le même jour) ou un séjour prolongé peuvent vous être proposés dans votre parcours de soins afin de vous aider dans l'atteinte de vos objectifs.
Mon espace santé : un espace numérique sécurisé pour suivre mon poids et mon tour de taille
Pesez-vous régulièrement et reportez vos mesures dans votre espace santé afin de suivre l'évolution de votre IMC.
De la même façon, mesurez votre tour de taille, relevez les mesures dans votre espace santé et suivez-en l'évolution.
Si vous envisagez de prendre des médicaments, parlez-en à votre médecin. Ne consommez jamais des médicaments n’ayant pas d’autorisation de mise sur le marché dans le surpoids et l’obésité.
L'orlistat
L'orlistat est un médicament utilisé en cas d'obésité, prescrit sur ordonnance et pris à chaque repas.
Au niveau du système digestif, l'orlistat bloque une enzyme qui permet d’absorber les graisses. Ainsi, environ un tiers des graisses apportées par l'alimentation sont éliminées avant que celles-ci ne soient digérées. Ces graisses, ne pouvant pas être absorbées, sont éliminées dans les selles.
Ce traitement est toujours associé à un régime pauvre en calories et en graisses.
Les analogues du GLP-1
Le Glucagon-Like-Peptide 1 (GLP-1) est une hormone naturellement produite par l’intestin après chaque repas. Elle agit principalement au niveau du et du cerveau :
- Dans le , le GLP-1 stimule la sécrétion d’.
- Dans le cerveau, le GLP-1 agit en stimulant les zones qui régulent l’appétit et la prise alimentaire.
Les analogues du GLP-1 (AGLP-1) appartiennent à une classe de médicaments qui imitent cette hormone endogène Glucagon-like peptide 1 (GLP-1) : liraglutide (Saxenda®,Victoza®), sémaglutide (Wegovy®, Ozempic®) ou tirzépatide (Mounjaro®).
Ainsi, en imitant cette hormone, ils activent au niveau du cerveau les zones responsables de la régulation de l’appétit. Cela permet de réduire la prise alimentaire. Ils agissent également au niveau du pour stimuler la sécrétion d’. Cela explique leur utilisation également dans le traitement du diabète.
Les analogues du GLP-1 pour soigner le diabète
Victoza® et Ozempic® sont utilisés dans certains cas de diabète de type 2 insuffisamment contrôlé disponibles uniquement sur ordonnance. L’utilisation de ces médicaments doit être réservée au traitement du diabète de type 2. Une surveillance renforcée a été mise en place pour s’assurer que les prescriptions respectent ce cadre d’utilisation, en raison d'un probable usage détourné chez des personnes non diabétiques dans un objectif de perte de poids.
Obésité : quels sont les analogues du GLP-1 commercialisés ?
Les nouveaux analogues du GLP-1 utilisés pour le traitement de l’obésité sont le tirzépatide (Mounjaro®) et le sémaglutide (Wegovy®).
À noter qu'un autre analogue du GLP-1 est indiqué dans l'obésité : le Saxenda® (liraglutide). Ce médicament est disponible en France sans remboursement depuis plusieurs années.
Les analogues du GLP-1 sont des médicaments injectables, disponibles uniquement sur ordonnance. Ils se présentent sous forme de stylos auto-injecteurs, ce qui permet la réalisation des injections par le patient lui-même. L’injection se fait une fois par semaine, sous la peau de l’ (ventre), du haut du bras ou de la cuisse. Il est préférable d’injecter le médicament le même jour chaque semaine.
Le point sur les nouveaux médicaments :
- Le Wegovy® (sémaglutide) a été mis à disposition en France du 21 juillet 2022 jusqu’au 27 septembre 2023 en accès précoce pour le traitement de l’obésité chez l’adulte ayant un indice de masse corporelle (IMC) initial supérieur ou égal à 40 kg/m² et présentant au moins une comorbidité liée au poids (hypertension artérielle, dyslipidémie, maladie cardiovasculaire, syndrome d’apnée du sommeil appareillé). Le laboratoire qui fabrique le Wegovy a demandé le retrait de ce médicament au sein du dispositif d’accès précoce. Il assure cependant la continuité de traitement à titre gracieux jusqu'au 31 décembre 2025 « dans l'attente de la négociation du prix pour permettre un remboursement ».
Depuis octobre 2024, le médicament Wegovy®, indiqué dans le traitement de l’obésité, est commercialisé en France à un prix fixé librement par le laboratoire, sans remboursement possible par l’assurance maladie. - Depuis novembre 2024, le Mounjaro® (tirzépatide) est commercialisé en France à un prix fixé librement par le laboratoire, sans remboursement possible par l’assurance maladie.
Prescription des analogues du GLP-1 : comment cela se passe ?
L'autorisation de mise sur le marché (AMM) précise que l'analogue du GLP-1 peut être prescrit chez un adulte présentant un IMC supérieur ou égal à 30 kg/m2 ou un IMC compris entre 27 et 30 kg/m2 en cas d'au moins un facteur de comorbidité associé (diabète, HTA, anomalie des graisses, maladie cardiovasculaire, apnée du sommeil).
Le traitement consiste en une injection sous-cutanée par semaine, à doses croissante.
Ces traitements sont disponibles uniquement sur ordonnance. Ils ne sont pas remboursables.
Depuis le 23 juin 2025, la prescription initiale et le renouvellement des médicaments Wegovy (sémaglutide), Mounjaro (tirzépatide) et Saxenda (liraglutide), sont autorisés pour tout médecin, dans le respect des indications de leur autorisation de mise sur le marché (AMM).
Ces médicaments sont des traitements de seconde intention, en cas d’échec de la prise en charge nutritionnelle. Ils sont prescrits en association à un régime hypocalorique et à une activité physique.
Les aGLP-1 indiqués dans l’obésité ne doivent pas être utilisés pour la perte de poids à des fins esthétiques, c’est-à-dire pour la perte de poids chez des personnes sans surpoids, ni obésité et qui n'ont pas de problèmes de santé liés au surpoids. Ces usages inappropriés peuvent exposer à des effets indésirables parfois graves.
À noter : la Haute Autorité de santé recommande que les analogues du GLP-1 ne s'adressent qu'aux patients de moins de 65 ans ayant un indice de masse corporel (IMC) initial supérieure ou égale à 35 kg/m2. Ils doivent être utilisés uniquement en deuxième intention, en cas d’échec de la prise en charge nutritionnelle et en association à un régime hypocalorique et à une activité physique.
Effets indésirables
Les effets indésirables les plus fréquents du tirzépatide et du sémaglutide sont liés à des problèmes digestifs tels que des nausées, vomissements, douleurs abdominales ou diarrhées.
Pour réduire le risque d’effets indésirables, le médecin peut mettre en place une augmentation progressive des doses hebdomadaires, par paliers étalés sur plusieurs semaines.
D'autres signalements sont en cours d'étude : survenue d'une optique ischémique antérieure non artéritique et survenue de grossesse chez des femmes sous contraception orale et traitées par sémaglutide.
En cas d’apparition d’effets indésirables très gênants, ou non mentionnés dans la notice du médicament, il est important d’en avertir sans tarder le pharmacien et le médecin.
Risque de mésusage des médicaments antidiabétiques analogues du GLP-1 (AGLP-1) : de nouvelles règles de prescription et de délivrance
L’Assurance Maladie met en garde contre le mésusage des médicaments antidiabétiques analogues du GLP-1 (AGLP-1), utilisés à tort comme produits amaigrissants.
Cet usage détourné de ces médicaments présente des risques pour la santé et contribue, de plus, à une forte demande susceptible de créer des ruptures d’approvisionnement pénalisant les patients diabétiques, qui en ont un réel besoin.
Afin de mieux encadrer la prescription et la délivrance de ces antidiabétiques, de nouvelles mesures sont entrées en vigueur le 1er février 2025.
Le dispositif s’applique à compter du 1er février 2025 à tous les antidiabétiques dits « AGLP-1 » :
- le sémaglutide (Ozempic®) ;
- le dulaglutide (Trulicity®) ;
- le liraglutide (Victoza®) ;
- l’exenatide (Byetta®).
Lorsque le médecin prescrit un AGLP-1 pour la première fois, il lui est demandé de remplir un court formulaire dont une copie doit être remise au patient. Ce justificatif, qui indique que le médicament est délivré conformément à son autorisation de mise sur le marché (AMM) et à ses indications thérapeutiques remboursables (ITR), doit être remis au pharmacien au moment de chaque délivrance du médicament.
Si le patient est déjà sous AGLP-1, le formulaire doit aussi être rempli une fois et une copie doit lui être donnée. Là encore, ce justificatif doit être remis au pharmacien pour qu’il puisse continuer à délivrer le médicament.
La chirugie de l'obésité : pour qui ?
Dans les cas d’obésité extrême, il existe une solution chirurgicale, appelée chirurgie bariatrique.
La chirurgie bariatrique modifie l’anatomie du tube digestif dans le but de diminuer la quantité d’aliments consommés.
Elle est réservée aux personnes :
- avec un indice de masse corporelle (ou IMC) > 40 kg/m², ou > 35 kg/m² avec une complication associée (par exemple diabète de type 2, HTA, syndrome d'apnée-hypopnée obstructive du sommeil) ;
- âgées de 18 à 60 ans ;
- n’ayant pas de contre-indication d’ordre psychologique ;
- qui ne présentent pas de risque opératoire particulier.
Cette intervention chirurgicale ne peut être envisagée que si la personne a tenté, sans succès, de perdre du poids grâce à une prise en charge médicale spécialisée de plusieurs mois (avec suivi diététique, activité physique et prise en charge psychologique). Elle n'est envisagée que lorsque les déficits nutritionnels, vitaminiques et une éventuelle dénutrition ont été corrigés.
La décision d’opérer est l’aboutissement de discussions entre le médecin traitant, le chirurgien, l’endocrinologue, le nutritionniste, le psychologue ou psychiatre : elle est prise de manière collégiale.
Avant d'être opérée, la personne adhère au programme de suivi prolongé après l'intervention.
Plusieurs techniques opératoires en cas de chirurgie de l'obésité (chirurgie bariatrique)
Différentes techniques opératoires sont possibles en cas d'obésité.
Les interventions chirurgicales dites restrictives
Elles limitent la capacité d’ingérer des aliments. Elles réduisent le volume susceptible de recevoir des aliments :
- pose d’un anneau gastrique ajustable ;
- ablation partielle de l’estomac (gastrectomie longitudinale appelée Sleeve gastrectomy).
L'opération dite mixte
Elle associe la restriction gastrique à la création d’une dérivation du tube digestif (Bypass). Elle relie la partie haute de l'estomac à la partie centrale de l'intestin grêle. Elle consiste ainsi à « court-circuiter » une partie de l’estomac et de l’intestin, empêchant ainsi l’absorption des aliments.
Ces interventions sont le plus souvent pratiquées sous cœlioscopie. Elles ne sont pas anodines : elles exigent une bonne préparation physique et psychologique. Elles requièrent également un bon suivi post-opératoire et un programme d’éducation au plan diététique et de l’activité physique.
Prado, le service de retour à domicile
En cas d’hospitalisation pour chirurgie, l'Assurance Maladie peut vous accompagner pour préparer au mieux votre retour à domicile. Avec Prado, un conseiller de l’Assurance Maladie vous rend visite pendant votre hospitalisation pour planifier les premiers rendez-vous, dont vous aurez besoin après votre sortie, auprès des professionnels de santé de ville.
Ce conseiller peut également faciliter vos démarches administratives
La reprise des activités après chirurgie pour obésité
Reprise des activités sportives et de loisir
Durant 2 à 3 semaines après l’intervention chirurgicale pour obésité, il est conseillé d’éviter la natation. Ne reprenez une activité physique qu’entre la 2e et la 4e semaine selon un programme personnalisé dont vous aurez discuté avec votre médecin.
Reprise du travail
Si vous exercez une activité professionnelle, un arrêt de travail vous est prescrit après la chirurgie bariatrique pour obésité. Sa durée dépend :
- de l’importance de votre obésité ;
- de la nature de votre activité : sédentaire ou port de charges plus ou moins lourdes ;
- de votre état de santé et de votre âge ;
- de l’acte chirurgical effectué, celui-ci pouvant être associé à un autre acte : cure de hernie inguinale... ;
- des suites opératoires : complications chirurgicales, difficultés à la reprise de l’alimentation, fatigue...
Ainsi un arrêt de 2 semaines peut être suffisant en cas de pose d’un anneau gastrique sous cœlioscopie chez une personne ayant un travail sédentaire, ou peu physique. A contrario, 4 semaines sont utiles en cas de port de charges de plus de 25 kg.
Pour les interventions plus importantes : court-circuit ou gastrectomie partielle, l’arrêt peut aller de 3 à 4 semaines selon l’activité professionnelle.
Une adaptation de reprise du travail peut être nécessaire : mi-temps thérapeutique sur une courte période, adaptation du poste de travail... En cas d'arrêt de plus de 30 jours, une visite de pré-reprise auprès du médecin du travail est obligatoire.
Suivi médical à vie après chirurgie de l'obésité
Pour que les bénéfices de la chirurgie bariatrique chez les personnes obèses soient durables et pour éviter l'apparition d'effets secondaires (carence en fer, en calcium, en vitamine D, dénutrition, mauvais fonctionnement du montage chirurgical...), un suivi médical des patients est indispensable.
Ce suivi comporte également des conseils concernant l'alimentation et l'activité physique, des aides psychologiques pour accompagner les changements physiques et psychologiques.
Le suivi est organisé par le médecin traitant en coordination avec l'équipe médicochirurgicale. Il est prolongé à vie et comporte :
- quatre consultations auprès de l'équipe médicochirurgicale (chirurgien, endocrinologue), la première année, puis une à deux par an les deux années suivantes. Si tout va bien, le suivi est ensuite espacé ;
- des consultations régulières chez le médecin-traitant.
Une supplémentation systématique en vitamines et particulièrement vitamines D et B 12, en fer est indispensable après un By-pass ou une Sleeve gastrectomy et décidée selon les résultats biologiques après la pose d'un anneau gastrique.
Si vous avez bénéficié d'une chirurgie bariatrique pour obésité, ne négligez pas votre suivi médical, indispensable pour votre santé.
Contraception chez les femmes en âge d'avoir des enfants, après chirurgie bariatrique
Avant l'intervention, le médecin s'assure que la femme n'est pas enceinte par un dosage des bêta HCG.
La contraception est maintenue au moins 12 mois après la chirurgie bariatrique.
Les méthodes réversibles de longue durée d'action sont privilégiées : dispositif intra-utérin au cuivre ou au lévonorgestrel. Les implants sous-cutanés microprogestatifs sont utilisables.
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